Le Pont Mirabeau

Pour le deuxième expérience culturelle, j’ai lu le poème <<Le Pont Mirabeau>> par Guillaume Apollinaire. Apollinaire l’a écrit dans 1912, et c’est au sujet de le pont à Paris, mais c’est aussi au sujet de l’amour… ou, plutôt… le manque de l’amour. Le première strophe compare le rivière Seine et l’amour, les deux courent sous le pont Mirabeau. Le narrateur dit qu’il faut que il souvienne que la joie venait après la peine toujours.

Prochain, il décrit que la nuit vienne et l’heure sonne, mais il ne se déplace pas; les jours sont partis mais il demeure. Nous lisons que les mains sont dans les mains et restons face à face, une image intime et romantique. Et les mots jouent avec cet image et donne une idée que le pont est les bras, et sous l’image parallèle,  l’onde passe avec des éternels regards. Et, encore, <<Vienne la nuit sonne l’heure/Les jours s’en vont je demeure>>.

Le narrateur n’est pas une optimiste de l’amour… mais l’auteur fait les mots tristes semble beau. L’amour court comme cette eau; l’amour s’en va. L’amour part. La vie continue lentement, et l’espérance essaie exister violemment. Encore, <<Vienne la nuit sonne l’heure/Les jours s’en vont je demeure>>.

Les jours continue et les semaines continue, mais pourquoi si il n’y a pas substance? Le temps est une sujet de perception, et si quelqu’un a mal au coeur, le temps ne passe pas. Et le passé ne retourne pas. Mais la rivière Seine coule encore, sous le Pont Mirabeau.

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine           Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse

Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure


 

Les Choristes

Pour mon activité français, j’ai vu le film qui s’appelle “Les Choristes”. Je l’ai vu quand j’ai été au lysée, mais je l’ai oublié sauf une personnage. Mais je parle au sujet de cette personage plus tard.

Maitenant, je voudrais dire au sujet de les thèmes dans le film. “Les Choristes” trait de les étudiants, particulièrement les garçons qui sont en difficuté. Ses parents ont envoyé les garcons à l’école “Fond de L’Étang” (et le sens de le nom est très intérésant, je pense). Il y a un professeur nouveau, qui s’appelle Clément Mathieu. Il a été un prof de musique avant sa travail au Fond de L’Étang, et quand il y arrive, il voit le mauvais traitements (le bande-annonce de film est ici: https://youtu.be/tyavwG8jQMA).

Le phrase de Fond de L’Étang est “action, réaction”, avant Clément Mathieu. Mais le film français présente deux thèmes effronté de la culture de France. Un thème montre le stéréotype de l’education est très strict au France, particulièrement pendant 1949. À l’évidence, le film n’est pas le representation exact de l’école français, mais le film donne l’idée que le technique de “action, réaction” n’est pas trop tabou. Mais, au contraire, le film a le thème de une autre stéreotype français; de l’art est un trop pièce de la vie. Clément Mathieu ont décidé enseigner la musique, et, bien sûr, c’est le traitement correct.

Il y a un garçon en particulièrement qui s’appelle Pierre Morhange, avec la visage d’une ange mais, selon le directeur Rachin, il est le pire. Mais, pour le première fois, Morhange connait Mathieu qui a un l’air de la patience. Au final, Morhange a le meilleur voix de tout les autres étudiants.

Mais, comme j’ai dit, il y a un personnage qui je suis souvenue, et c’est Pépinot. Ah, Pépinot… J’ai mal à la cœur. Il est un très petit garcon qui a habité au Fond de L’Étang depuis il peut souvenir. Chaque samedi, il attend au portail pour ses parents. Il est réservé et très mignon, mais aussi très triste. Le film continue, et les étudiantes sont allés au concerts pour ses choristes, et il y a de l’ésperance au Fond de L’Étang parce-que Mathieu. Mais le Fond de L’Étang l’ont licencié, et le film n’ont pas un fin hereux parfait. Sauf il y a un ordonnance pour mon cœur et Pépinot; quand Mathieu est parti, Pépinot l’ai appelé… Et Mathieu le prends au bus… un samedi.